
Thomas d’Aquin sur la capacité humaine de connaître la vérité
Boèce à écris une des œuvres les plus importantes sur la doctrine de la Trinité, De Trinitate. Thomas d’Aquin à écrit un commentaire excellent sur le De Trinitate de Boèce. Il procède à travers le livre de Boèce de manière dialectique. Son premier questionnement est : « L’âme humaine a-t-elle besoin d’une nouvelle illumination de la lumière

Commentaire de Jean Calvin sur Romains 1 :19-20
Dans cet extrait du commentaire de Jean Calvin sur Romains 1 :19-20, nous voyons sa compréhension de ces versets qui ont souvent été pris comme soutiens biblique pour l’affirmation que l’homme non-régénéré peut connaître quelque chose de Dieu. J’ai fait quelques ajustements à la manière que certains mots étaient épelés (pour les modernisé), et j’ai

Augustine sur les philosophes et les Platoniciennes
Dans la Cité de Dieu, Augustine arrive, dans le tome 7, à parler des 3 formes de théologie selon Varron. En tome 8, il tourne vers ce qu’il appelle la théologie naturelle. Notez, dans le texte, ce qu’il dit de la définition du « philosophe » en relation avec Dieu. Plusieurs des Pères de l’église parlaient de

Boèce sur la bonté suprême et Dieu
La Consolation de la Philosophie est un dialogue écrit par Boèce (477-524), un philosophe, politicien, et théologien Chrétien qui était incarcéré lors de la rédaction de ce livre. Ce livre présente Boèce, en prison, étant visité par la dame philosophie, qui l’aide à prendre du recul face à sa situation et la mettre en perspective.

Basile de Césarée sur les livres païens
L’extrait suivant vient d’un discours de Saint Basile le grand (330-379), un des pères Grecs de Cappadoce qui a défendu la doctrine de la Trinité contre les Ariens du quatrième siècle. Ce discours est adressé aux jeunes, sur l’utilité qu’ils peuvent retirer de la lecture des livres païens.

Augustin sur les « Vérités qu’on peut cueillir dans les écrits des païens »
Augustin (354-430), théologien qui a influencé tous les théologiens Chrétiens depuis son temps (autant Catholique Romain que Protestant), dans son livre sur la doctrine chrétienne, parle de comment le penseur chrétien devrait utiliser les penseurs païens. Il dit, “Si les philosophes et principalement les Platoniciens ont parfois déposé dans leurs écrits quelques vérités conformes à notre foi, il est hors de doute qu’au lieu de les rejeter nous devons les leur ravir comme à d’injustes possesseurs et les tourner à notre usage…”